189 fucking
« The current London adjective, now tacked onto every noun, is “fucking”. No doubt in time “fucking”, like “bloody”, will find its way into the drawing-room and be replaced by some other word. » « À Londres, l’adjectif actuel, attaché à chaque mot, est “ fucking ”. Il est hors de doute qu’au fil du temps, “ fucking ”, tout comme “ bloody ”, trouvera son chemin dans les salons et sera remplacé par un autre mot. » Il existe toujours (et plus que jamais, au point qu’il ne sera sans doute jamais chassé du langage). Il n’empêche : je suis étonné qu’il l’emploie avec une telle facilité, ou, pour le moins, qu’il n’ait pas été censuré par l’éditeur ; c’est tout de même, même actuellement, un mot très fort sans aucune commune mesure avec « bloody », par exemple…
190 COW
« And the worst insult to a woman, either in London or Paris, is « cow » […]. » « La pire insulte à l’adresse d’une femme, que ce soit à Londres ou à Paris, est “ vache ”. » Ah bon ? (« Morue » ou « thon » – quoiqu’ils soient actuels – me semblent autrement plus forts...)
218 « Deliberate… poverty. »
« Deliberate, cynical parasitism, such as one reads in Jack London’s books on American tramping, is not in the English character. The English are a conscience-ridden race, with a strong sense of the sinfulness of poverty. » « Le parasitisme délibéré, cynique, tel celui que l’on trouve dans les livres que Jack London a consacrés au vagabondage aux États-Unis, n’est pas dans le caractère anglais. L’Anglais est tourmenté par la conscience ; la pauvreté crée en lui un fort sentiment de culpabilité lié au péché. »