(Si un livre ne résiste pas à la fatigue, au dépit, à la mélancolie, à la déprime, à la colère, c'est qu'il est « mauvais ». Je pense que je vais laisser tomber Orton, comme j'ai décidé de laisser tomber Céleste. Je ne passe pas le cap de Tanger et ses chasses aux petits garçons, le sexe dans ses détails crus, cliniques et rabâchés : je suis agacé voir Burroughs à Tanger, aussi...)
31 août 1999