J’ai poursuivi Zweig avec la vague envie d’en arrêter là. C’est ce que j’ai fini par faire pour aller dans le salon d’hiver jeter un œil aux livres délaissés, Gogol, Kawabata, Ogawa. Je les ai feuilletés pour finalement choisir (est-ce vraiment un choix ?) Ogawa. Il restait une vingtaine de pages du roman Amours en marge. Je suis retourné au salon pour les terminer sans le moindre souvenir de ce qui avait précédé, ni l’envie d’entamer le roman suivant.

 

11 février 2013