« Quel triste spectacle de voir la grande femme, qui, au péril de sa vie, sauva la France de l’anarchie et de l’étranger, qui avait si sagement renoncé au gouvernement quand elle eut marié son frère ; qui, par deux fois, refuse le trône pour jouir seulement de ses biens légitimement  acquis, cette princesse qui fut huit ans roi, et grand roi, puis conseillère toujours écoutée, cette femme bonne et haute, qui fit le mariage de Louise de Savoie en pitié de sa pauvreté, à qui François 1er devait le trône, car si elle l’avait exigé, Louis XII l’eut laissé à Charles... »