Brasillach : Sénèque, plus un extrait de Médée traduit par ses soins.
Il écrit à la page 882 :
« Comme chez plusieurs grands poètes, il semble
qu'une doctrine révélée, un ésotérisme serve de support aux constructions
scéniques. Je suis sûr que Shakespeare avait fait de l'alchimie et connaissait
les traités de magie. Sénèque nous prouve par Médée que la sorcellerie n'était
pas pour lui un accessoire de pacotille, et il a dû, lui aussi, se pencher avec
une fièvre lucide sur des livres mystérieux et sur les oracles des prophétesses.
Quel metteur en scène nous rendra ce dramaturge initié ? »
Tout cela me semble un peu hardi...
Voir l'incroyable histoire des « nègres », p.
982.
Pour le reste, voir fichier...
4 février 2000