Notes :

 

38 ENFANÇONNE ?

« Pour l’enfançonne, ce fut une révélation […]. » Robert l’ignore, ainsi que le correcteur. Voyons voir le réseau. Il l’accepte et il y a même de nombreuses entrées. Enfançonne, « petite fille en bas âge » – petite, c’est-à-dire, la taille ? Si elle est en bas âge, c’est forcément une petite fille…

 

45 s’avérait

« La passation de pouvoir entre les deux divinités s’avérait délicate. » Indécrottable après des milliers de pages écrites depuis trente ans. À quoi sert-il d’employer des mots ou des formules rares si elle en est toujours à ignorer que « s’avérait » n’a pas de sens et est impropre : « se révélait »…

 

59 « son aînée »

« Olivier ne s’inquiéta pas du désir de son aînée d’aller habiter chez ses grands-parents […]. » Sa fille ou sa sœur ? Je pense à Innocent qui écrit dans Sale attente¸ à propos de sa sœur cadette et sa sœur aînée : « ma cadette », « mon aînée ». Je l’avais souligné avant de vérifier qu’effectivement cela se disait. Vu le contexte, ça ne peut être que sa fille, la personnage principale, l’aînée de ses deux filles, effectivement. Mais tel que c’est écrit, il s’agirait de sa propre sœur