La pitié dangereuse
Elle en fait mention à un moment donné, et je
m’étais dit qu’il y avait sans doute des affinités, tant au niveau de la
réflexion que du style, parfois, tellement académique, scolaire, que cela
pourrait être un texte écrit à l’aube de la guerre : Zweig réécrit par une
enfant, toutes proportions étant gardées...
142 Schubert...
Une phrase à figure d’aphorisme qui m’a fait sourire : « Être malheureux
en juin est aussi inconcevable que d’être
heureux en écoutant du Schubert. »
142 La glycine, c’est en mai
Puis (en réalité, il s’agit de la page 143) :
« L’antidote de la glycine est l’asperge, autre tribut du mois de juin. »
J’ignore si la glycine fleurit en juin, mais la nôtre est en fleurs depuis plus
de quinze jours. La glycine ce n’est donc pas forcément en juin…