C’est un exemplaire du Livre de Poche dont la couverture exhibe un sumo un peu risible qui, au regard du responsable de l’illustration, a dû paraître de la plus grande des justesses : il est question d’un monstre obèse, et les liens d’Amélie avec le Japon ne sont un secret pour personne. Ah. Dans cette édition, je relève que son âge n’est pas indiqué ; j’aurais aimé le savoir, ne serait-ce que pour dire à Apollos qu’elle était bien plus jeune qu’il ne le prétendait. Je note en outre que son premier roman date de 1992 et je reste persuadé qu’elle était adolescente lorsqu’elle l’a publié. Je note enfin son visage en quatrième de couverture où elle est presque jolie. Et, pour terminer tout à fait, deux ou trois notes que j’ai prises malgré tout (pourquoi malgré tout ?)...