Il y a un ex-libris daté du 10 décembre 1992 : pas de trace dans mon journal. (1991, 1992 a été l’époque de mon engouement pour Mutis et il me semble qu’après la lecture de La neige de l’amiral, j’avais acheté en neuf tout ce qui était disponible à ce moment-là ; Mutis était ensuite sorti de ma vie, sans doute parce qu’il n’y avait plus rien d’autre d’édité et que j’étais passé à quelqu’un d’autre ; il me semble aussi que j’en parle davantage dans mon journal, notamment lorsque j’avais lu La neige de l’amiral au bureau, dans une salle, perché sur un chariot)

 

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