Je cherchais un texte japonais, pensais à Shimazaki, mais son nom à ce moment-là m’échappait complètement. En parcourant le rayon des livres japonais, j’ai retrouvé son nom ; à côté se trouvait un Murakami inédit : Underground, entretiens traduits de l’anglais. J’ai hésité, l’ai pris, puis remis à sa place lorsque je me suis rendu compte qu’il était tout de même plus logique que je le lise en anglais, même s’il ne s’agit pas de sa langue natale. Je l’achèterai en anglais… (Il y avait un texte de Shimazaki, je l’avais. Dans la section poche, il y en avait trois ; deux d’entre eux me disaient quelque chose, mais j’ai été incapable de dire si je possédais le troisième ou non…)

 

6 août 2013