J’ai entamé Proust, i colori dans le fauteuil à bascule de mon bureau. Je nage. Trop de vocabulaire, et le style de l’essai (« saggio », quel beau mot) en italien m’échappe. Je bute sur chaque phrase. Pour l’instant, je le lis sans le secours du dictionnaire ; je le relirai avec, comme avec Benjamin (mais c’est beaucoup plus long)…

 

4 juillet 2017