Je n’ai pas mis le nez dehors. Je poursuis Musée noir. Fantasmagorie, fantastique, onirisme ; mais ce qui peut tout résumer, c’est le merveilleux, tel que pouvait le voir et le définir Breton. Du reste, il y a souvent des envolées dignes du surréalisme. Pourtant, ça me lasse un peu. La première m’avait enchanté, les deux suivantes m’ont laissé sur le même nuage, mais je peine à achever « Le tombeau de Beardsley ». Profusion d'images et de sons jusqu'à l'étourdissement ; je suis comme ivre, et je ne vois plus les lignes. Il n’empêche que c’est remarquable…
7 mai 2012