Je n’ai pas achevé « Le tombeau », ni la suivante « Le Pont », et j’ai fait l’impasse sur la dernière pour passer directement à la postface d’un certain Guy Dumur. Le mot « foisonnement » qu’il emploie à un moment donné me semble être une bonne réponse à ma lassitude. Ça foisonne, prolifère, pullule et je n’ai pas été étonné d’apprendre qu’il s’agissait de son premier texte : c’est l’exaltation et la fièvre des premiers pas.

 

9 mai 2012