Je décide d’attraper Mort à Venise dont j’ai lu les premières pages hier au lit. C’est une édition de 1974 qui semble être la seule en France à lui avoir été consacré tant je l’ai vue dans les puces et chez les bouquinistes depuis plus de vingt ans. Facture remarquable, noire et dorée, une sélection du Club pour vous de chez Hachette. Le copyright est de 1971 chez Fayart et il n’y a nulle mention d’un quelconque traducteur. Je n’ai pas le souvenir de la première lecture, mais du moins doit-elle dater du début des années quatre-vingt puisque j’utilise Aschenbach et Tadzio dans Le bar trop plein qui doit être de 1984 ; ou alors j'avais vu le film à cette époque. Mais l’un ou l’autre m’a suffisamment frappé pour que, justement, je les fasse entrer dans un texte. Il n’empêche que c'est assez déplorable et je crains fort qu’il ne s’agisse d’une mauvaise traduction. Je poursuis…