Je l’ai achevé. Pour l’heure, j’ai arrêté à la page 55 le relevé systématique des croquignols. J’ignore si je vais poursuivre cette tâche pour le moins « fantaisiste » (il y a sûrement un autre mot). Au cours de la lecture des vingt dernières pages, j’ai noté qu’ils se raréfient, qu’à quelques rares exceptions près, le lecteur ne souligne plus les mots en entier, mais se cantonne à une ou deux lettres. Est-ce un signe de lassitude (mais une telle constance d’un bout à l’autre d’un ouvrage de deux cent cinquante pages ne peut souffrir la lassitude) ou ma théorie du cryptage se confirme-t-elle ? Une bizarrerie, cependant. La dernière phrase du texte m’a laissé perplexe. Je n’en voyais guère le sens. J’aurais pu me lever et aller m’aider du dictionnaire, mais il m’a semblé plus facile d’aller jeter un œil à la traduction. Il se trouve que cette dernière phrase n’y figure pas...