De passer, sans transition aucune, d’autant que
je n’ai pas tout à fait achevé le premier, de Simon à Mauriac, produit tout
de même un choc. J’ai un mal fou à m’attacher à cette écriture
entre désuétude et académisme (ou les deux en même temps), à cette prose qui
après la furie et la fièvre du Vent me paraît
infiniment sèche et chaotique…
21 mai 2002