312 « … non vedevo… » ? plutôt que « avevo visto » ?

« Erano parecchi mesi che non vedevo Ante Pavelic […]. » « Cela faisait plusieurs mois que je ne voyais pas Ante Pavelic […]. » Plutôt que « je n’avais vu » ?

 

« transparenti »

Il n’avait donc pas vu Pavelic depuis plusieurs mois et « Le sue enormi orecchie erano straordinariamente dimagrite. Erano divenute trasparenti […] » « Ses oreilles énormes avaient extraordinairement maigri. Elles étaient devenues transparentes […]. »

 

L’histoire des huîtres…

Je ne m’en souviens plus... Oui, voilà, je m’en souviens à présent : un panier contenait des fruits de mer qui pouvaient faire penser à des huîtres, « comme celles que l’on voyait parfois dans de grands vases en vitrine chez Fortnum and Mason à Picadilly ». « Ça te plairait une bonne soupe d’huîtres ? » demande l’un des convives à celui qui raconte l’histoire. « Ce sont des huîtres de Dalmatie ? » « Ante Pavelic a soulevé le couvercle du panier et en montrant ces fruits de mer, cette masse visqueuse et gélatineuse d’huîtres, a dit en souriant, et avec son sourire bon et fatigué : « È un regalo dei miei fedeli ustacia : sono venti chili di occhi umani. » « C’est un cadeau de mes fidèles oustachis : vingt kilos d’yeux humains. » « Un panier d’huîtres » est le titre du chapitre…

 

412 et suivantes la part proustienne...

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