p. 158 : le nom d'une fleur en Chine :

« J'ai joui de mon ami dans le jardin. »

 

p. 174 :

« la plante qui sent la semence humaine »

et dont Clara va se barbouiller le visage ;

 

p. 175 : les pointes des seins :

« Et toutes ces fleurs !... [...] Tu verras comme elles sont plus belles, quelle ardente passion exaspère leurs parfums !... Sens encore, mon chéri,... et viens... Et prends mes seins... Comme ils sont durs !... Leurs pointes s'irritent à la soie de ma robe... on dirait d'un fer chaud qui les brûle... C'est délicieux... Viens donc... »

 

p. 155 :

l'histoire du Jardin des Supplices, mêlant l'extrême raffinement de sa flore à la torture...