p. 182 : le bourreau qui conclut son laïus par :

« Il y a en Chine, milady, quelque chose de pourri... »

 

Dommage qu'il y ait cette écriture obsolète (excès des exclamations, des sentiments, des sensations, typique de l'époque – et des mauvais écrivains, sans doute) qui empêche que j'y croie, qui donne à l'ensemble un petit côté ridicule. Clara, sans cet excès, aurait pu être un personnage extraordinaire, alors qu'elle n'est que caricaturale, et parfois grotesque. Sans doute Mirbeau a-t-il voulu aller trop vite, ou n'a-t-il pas suffisamment senti... (ou est-ce la faute à l’époque ?) Me renseigner sur Mirbeau. (N'était-il pas attaché à Darien, à Bloy ?)

 

4 juillet 2000