238 « deuxième partie »
« Quelque chose d’étrange sonnait […] ; mais surtout la deuxième partie de l’énoncé […]. » J’ai attendu la troisième ; il n’y en a pas ; c’est donc la « seconde » partie…
242 « qu’est-ce qu’il dirait… »
« Depuis, en trente-cinq ans, j’ai sans nul doute gagné en naturel (qu’est-ce qu’il dirait aujourd’hui, M. de La Bretèque ?) […]. » Cette forme familière jure avec sa manière d'écrire en général, ainsi qu’avec ce qu’il disait précédemment : « […] il me dit qu’il était surpris de la correction de mon français, que je parlais comme un livre […]. »
243 les réparties…
Ça m’a fait rire. « […] le plaisir que je goûtais dans l’exploration des expressions familières, vulgaires, voire argotiques. Car c’était de la parole pure enfin débarrassée du poids de la pensée normative de l’écrit scolaire. » Il donne trois exemples du langage parlé ; je les rapporte : « Le dimanche, pour bouffer, il faut se démerder, les restos U sont fermés. » « Trois secondes, j’ai un bordel pas possible dans ma bagnole. » Le troisième qui ouvre son frigo : « Merde, j’ai que dalle, de la flotte seulement. » Je l’imagine, à chaque fois, s’empresser de les rapporter à l’aide de son crayon à papier et de sa gomme… Je lui laisse la responsabilité de l’emploi du mot « vulgaire »…