Que peut-on encore dire des coïncidences en habit de signes ? Hier, j’avais écrit quelques mots à propos de MURASAKI, violet, en me demandant comment l’on disait violette en japonais. Je viens d’entamer Les amants du Spoutnik ; en vérité, c’est la deuxième fois : je l’avais déjà entamé le lendemain de son achat, deux pages, pour le refermer, je n’avais pas la tête à la lecture. Je le reprends donc aujourd’hui. Le personnage principal s’appelle SUMIRE. C’est sa mère qui lui a donné ce prénom (qu’elle n’aime pas) en l’honneur d’un chant de Mozart intitulé La Violette. Sumire veut-il bien dire « violette » ? (Je note incidemment qu’il contient SUE – miroir de Sue, est-ce un peu exagéré ?...)
20 décembre 2004