Horace était là, Saturnin aussi. Nous nous sommes installés dans cette belle pièce pour discuter de choses et d’autres, écouter un petit morceau de guimbarde, échanger diverses facéties dont Horace, évidemment, était l’orchestrateur. Puis nous sommes montés dans l’appartement de Saturnin ; le séjour donne sur la place ; sur l’un des murs se reflète un Matisse issu des projections qui illuminent la façade de la mairie. J’ai acheté Les amants du spoutnik...

 

14 décembre 2004