Je poursuis la numérisation (ou scannage) du roman du frère d’Éléonore. Ça prend un temps fou, j’y ai passé une bonne partie de la soirée. Pendant que les pages se scannent (ou se numérisent), je lis La fin des temps, avec ce mélange d’un plaisir léger et d’agacement, le premier lié à l’histoire, le second à l’écriture (et ses incessants traits d’humour de type thriller états-unien des années quarante et cinquante)...

 

7 septembre 2005

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