Je poursuis Calvino, ai entamé La fin des temps qui, après une dizaine de pages de régal, s’étale, puis s’effondre tout à coup (machinalement, je vais en quête de la date de la première publication : 1985, rien d’étonnant, donc). C’est extrêmement mal écrit, et je ne dis pas « mal traduit », puisque je sais désormais ce qu’il en est de l’original et que Corinne Atlan s’attache (à mon sens à tort) à être le plus objectif possible. J’attends la suite…

 

2 septembre 2005