Je disais à James : « Je dois acheter quelque chose, mais je ne sais plus quoi. Tu n’as pas une idée ? » « Un poche bien choisi pour moi, par exemple. » Sur la route, je me suis rappelé le produit à vaisselle, puis l’huile. Auparavant, j’étais passé au rayon poche, cherché Sôseki, en vain. Juste à côté, il y avait deux Sollers, je les avais empochés ; mais pas de Sôseki. Alors, j’avais pensé à Murakami. Il y avait Les amants du Spoutnik (je l’avais pris pour James) ; et juste à côté, La fin des temps. Pour moi...
4 août 2005