Je viens de les achever. À un moment donné, il m’avait semblé que la banalité se
muait, que la convention allait prendre un ton d’épopée. Et puis rien ; rien
d’autre qu’un ordinaire confondant que l’écriture (la traduction ?) ne peut en
rien sauver, ou enjoliver, ou transcender. À part un vague rapprochement avec
des questions personnelles, je ne vois pas l’intérêt et la valeur de ce texte.
C’est dire qu’il n’a ni l’un ni l’autre. Je me suis fait prendre au piège de
l’identification… (Qu’y a-t-il de japonais dans cette histoire qui pourrait se
passer n’importe où dans le monde et être écrite par n’importe qui ?...)
15 juin 2004