Notes :
Rédaction scolaire ou alors d’un autre siècle (dire « le braqueur », « l’homme », « la fille » pour ne pas répéter les prénoms – et plus loin « l’ex-détenu », « l’évadé » – et « l’ex-taulard » pour ne pas répéter « l’ex-détenu »…
p. 125 « la petite » au lieu de Cab…
Elle applique ses leçons… (Oui, mais tant que cela reste au niveau de la rédaction ; ensuite, il y a la publication et, entre les deux, normalement, un éditeur dont la charge, si je ne m’abuse, est d’avoir un œil sur le texte qu’il va publier…) (En supposant qu’il l’ait lu et y ait porté toute son attention, je peux imaginer que son parti pris ait été de préserver l’authenticité, pourquoi pas – c’est, je pense, ce qui se passe avec Amélie…)
p. 126 « il se tourna vers l’évadé »
au lieu de Damien (ou vers lui), c’est touchant…
p. 130 « pour ne pas s’enrhumer »
« […] il lui laissa un millimètre de cheveux pour ne pas s’enrhumer. » Tel que c’est écrit, c’est lui qui craint de s’enrhumer. « […] pour qu’elle ne s’enrhume pas. »