Je suis passé prendre ma commande ; j’ai fait une drôle de tête lorsque Caroline l’a posée devant moi et que j’ai pris connaissance du titre : Monstres en cavale. Il y avait eu deux autres livres outre Rien ne se perd, j’avais dit « le premier » sans même regarder l’écran. J’ai craint le pire et n’en suis pas loin. Dès la première page, voire les premières lignes, j’ai su que ça n’avait rien à voir avec le « précédent » (je ne sais pas encore quelle place celui-ci occupe dans son « œuvre » ; à mon avis, il le précède effectivement) et j’ai souri en lisant ce qu’en dit une critique sur la quatrième de couverture : « Dès les premières lignes, on est happé par ce récit magistralement conduit. Quelle maturité dans l’écriture ! » Je l’ai entamé, ai failli décrocher au bout de quelques pages et finalement en suis à la cent-cinquantième (il y en a six cents). Ce n’est pas sans intérêt (quelque chose entre Amélie et Virginie), c’est attachant. Je verrai jusqu’où j’irai…

 

28 juillet 2024