Chaleur encore aujourd’hui… J’en suis à la deux-centième page. J’ai pris le parti de lire ce texte comme s’il s’agissait d’un livre d’aventures – mais c’en est un – et que j’avais douze ans – je n’ai toujours pas vérifié si ce texte précédait Rien ne se perd ou non ; sans doute, sinon ce serait inquiétant