Facciamo presto. Campari, chips, bus Treviso, la foule, le petit bar aux délicieux Chinois. Il y a des queues partout, nous allons à la presse, j’achète trois livres dont Cercasi Niki disperatamente d’un inconnu : Federico Moccia; je parle italien avec la jolie caissière. Impossible d’échapper à la queue qui ne fait que s’allonger et grossir ; nous nous y mettons, chacun avec son livre alors que tout le monde autour de nous bat la semelle ; douane, contrôle, je commets mon impair avec la serveuse de café (novanta cinque, me dit-elle, je n’avais pas compris, ai posé deux pièces d’un euro, elle en a repoussé une sans un mot, sans même me regarder, j’ai eu honte) ; moment toujours impressionnant de l’atterrissage, notamment lié au freinage dont la puissance m’époustoufle à chaque fois ; nous y sommes.
29 octobre 2007