Petit déjeuner. Ça commence à sortir, petit à petit, j’ai l’impression que ça ne va pas changer grand-chose et le soleil fait son apparition… Je poursuis L’homme sentimental dans la loggia, entamé hier, Pêle-Mêle… (Rêve avec Ophélie : elle était méconnaissable, visage rond, bouffi, presque gonflé – boursouflé – comme un ballon, et sans la moindre expression – pas tout à fait, il y avait de la gravité et de la peine, comme si elle souffrait de sa nouvelle apparence…)