Puis : « il le doit avant tout »
« Si Proust est devenu l’un des tout premiers écrivains de l’histoire de la littérature mondiale, il le doit avant tout à La Recherche. » Non ; uniquement. Proust c’est La Recherche et rien d’autre (sauf quelques pages de Contre Sainte-Beuve)...
96 troisième colonne « paradis perdus… »
« Autrement dit, il faut peut-être avoir éprouvé soi-même l’ennui du monde des salons pour saisir la vérité profonde de Proust, à savoir que les paradis sont ceux que l’on a perdus et que seule la littérature est à même de les sauver. » Je ne suis pas sûr que Proust exprime cela ; y a-t-il du regret, de la nostalgie chez lui (mais j’avoue que je ne m’étais jamais posé la question) ?...
Guermantes ennuyeux ? Je n’en ai pas le
souvenir. C’est Un amour de Swann qui m’avait
ennuyé, la toute première
fois. Je vais du reste de nouveau en faire l’essai (l’épreuve)...
26 juin 2013