« Si la journée de samedi, qui commençait une heure plus tôt et où elle était privée de Françoise, passait plus lentement qu’une autre pour ma tante, elle en attendait pourtant le retour avec impatience depuis le commencement de la semaine, comme contenant toute la nouveauté et la distraction que fût encore capable de supporter son corps affaibli et maniaque. »

 

Finalement, c’est extrêmement mal écrit...

 

« Et ce nest pas cependant quelle n'aspirât parfois à quelque grand changement, quelle n'eût de ces heures dexception où lon a soif de quelque chose dautre que ce qui est, et où ceux que le manque dénergie ou dimagination empêche de tirer deux-mêmes un principe de rénovation demandent à la minute qui vient, au facteur qui sonne, de leur apporter du nouveau, fût-ce du pire, une émotion, une douleur ; où la sensibilité, que le bonheur a fait taire comme une harpe oisive, veut résonner sous une main, même brutale, et dût-elle en être brisée ; où la volonté, qui a si difficilement conquis le droit dêtre livrée sans obstacle à ses désirs, à ses peines, voudrait jeter les rênes entre les mains dévénements impérieux, fussent-ils cruels. »

 

Je pense quil s'amuse ici ; il joue avec le lecteur (et avec lui-même) ;

mais avec quelle joie (pour lun comme pour lautre)...