« Creation apart, the writing of a symphony is physically arduous.

Every second of playing time involved writing out, note by note, […] » etc.

 

« Si l’on excepte la part de création pure, l’écriture d’une symphonie est un travail physiquement ardu.

Chaque seconde du temps de musique impliquait l’écriture de chaque note, l’une après l’autre, […] »

 

Premièrement, c'est le fait de toute écriture musicale, quelle qu'elle soit, et c'est vrai que c'est extrêmement laborieux

(c'est en partie à cause de cela que je n'écris pas davantage, que je renonce souvent face à la page).

Deuxièmement, à présent il y a des machines pour cela (voir LA PORTE). Troisièmement, la question suivante

(qui rejoint le point précédent) : n'y a-t-il pas un anachronisme à écrire manuellement de la musique aujourd'hui ?

(ce n'est pas en contradiction avec le fait que je défende l'écriture manuscrite) et, plus précisément, à écrire une symphonie ?... Mais, p. 47, il se révèle que Clive utilise aussi un « midi computer »...