Je ne parviens pas à pénétrer tout à fait dans
L’érotisme masculin, aussi intéressant soit-il. J’ai les pensées
ailleurs, notamment autour de ma fatigue et de mes embarras viscéraux. Je me
suis rabattu sur De l’amour et autres démons qui ne nécessite pas de
concentration particulière, d’autant que les paysages, les thèmes, les
personnages sont parfaitement familiers. C’est du Marquez…
30 mai
2002