Il fallait tout de même que j’élucide cette affaire qui, irrésistiblement, me portait à penser qu’Armstrong avait été pressenti comme chanteur pour DIM. Après une rapide recherche, en tapant « louis armstrong sing the », j’en arrive à ce constat qu’il s’agit de Sing the Blues... Je ne suis pas loin de penser que les trois-quarts du travail ont été assurés par Systran ou un quelconque autre logiciel de traduction, cela expliquerait bien des choses. Mais existe-t-il une version pour le japonais ? Ou bien sont-elles passées (puisqu’elles sont deux, Hélène Morita assistée de Yoko Miyamoto, et qu’elles soient japonaises n’excusent en rien la médiocrité de la traduction) par la traduction anglaise qu’elles auraient soumises à un logiciel pour ensuite bricoler plus ou moins un vague français de maternelle ?...