Je l’ai entamé dans la nuit à mon bureau. Ce n’est plus Corinne Atlan qui traduit, mais c’est toujours aussi mal écrit ; et éprouvant et agaçant. Je l’ai repris ce matin dans le salon d’hiver jusqu’au moment où Éléonore et Armel sont rentrés des puces et Annabelle et Tashi arrivés de Londres...
3 septembre 2011