
Elle m’avait dit : « Gabriel Garcia
Marquez, c’est Cent ans de solitude et L’amour aux temps du choléra.
Le reste, ça ne vaut rien... » Le lendemain, elle posait un
exemplaire de chaque sur mon bureau, édition française, en gardant pour elle les
traductions en anglais… J’ai entamé le second ce matin…
15 octobre
2001