Puis, monade 20, je souligne « accablés d'un profond sommeil », faute qui m'avait fait subodorer la traduction. Monade 48 : « perfectihabiis » qui dans l'autre édition se révèle être « perfectihabies » ; Boutroux note : « L'expression perfectihabia, formée de perfectum et de habeo, n'est qu'une traduction littérale qui ne nous éclaire guère. » Monade 61 : « sumpnoia panta », grec latinisé, qui dans l'autre édition est sumpnoia panta dont Boutroux dit : « Les manuscrits donnent ainsi sumpnoia, écrit de la main même de Leibnitz, au lieu de sumpnoa, seule forme que l'on trouve dans le Thesaurus. »

 

24 juin 2001