Roman. Dès les premières phrases, je sens un quelque chose de fabriqué qui me fait dire que Lacarrière est certainement mieux fait pour l'étude, l'analyse, le rapport, voire le récit, que pour la fiction proprement dite (en tout cas, pour le romanesque) et, en allant, je ne peux m'empêcher d'imaginer sur son bureau un Dictionnaire des synonymes ou encore (peut-être à inventer ?) un Dictionnaire des métaphores et des paraboles... Je lis pourtant...