Achevé. Malheureusement, ça ne s'arrête pas là.
Il faudra donc que j’attende l'occasion de retomber sur un lot de Petite
illustration pour en connaître la suite. Malheureusement, car, quoi que je
puisse dire et penser de Loti, tout cela recèle un indéniable charme, lié au
journal, à l'exotisme du voyage, lié, malgré tout, à son écriture, en
l'occurrence attachante. Dommage qu'il y ait ces lettres, encore que je lise
celles de la fameuse Oirda, la « vieille amie des bonnes façons ». Au fait,
l'origine de cette correspondante énigmatique que je trouve à la page 6 du
premier fascicule :