Note, p. 51 : lundi 4 février, il est de retour à Rochefort : « Mes six cents kilos de bagages me suivent en trois convois et le déballage des chinoiseries se fait séance tenante, dans la cour de ma maison, par un froid gris auquel je ne suis plus habitué. » Six cents kilos, pas moins... Et il ajoute : « Pourquoi me suis-je encombré de toutes ces choses ? » En effet... Je sais qu'elles trouveront leur place dans sa maison. (Cela me fait penser à Lise et Horace qui créent une chambre Loti chez eux...) D'ailleurs, dernier paragraphe du présent fascicule, Rochefort, 22 février : « Les mains pleines de plâtre, je dirige la construction de ma “ chambre arabe ” où seront plaquées aux murs des faïences prises dans la kasbah d'Alger au dernier printemps, promenées au Tonkin, roulées à tous les hasards des voyages et de la mer. » Suit : À suivre... (À noter la niaiserie totale des illustrations, cartouches et vignettes)...

 

13 mai 2000