J'ai entamé la première partie, théorie sur les contraintes en matière d'écriture, pour très vite abandonner : théorie pour la théorie, du vent, de la prose chargée, lourde, ampoulée, absconse. Je ne vois pas l'utilité d'une telle analyse où l'auteur se contemple en vain dans un miroir fait d'obscurité et de vanité. Je le délaisse pour l'instant...
20 mars 2001