Après la petite furie japonaise (Contes, Les plus beaux récits, Edogawa, Noriko), je suis de nouveau sans lecture. J’ai survolé la souffrance sans grande conviction, en ai prélevé le livre sur les « littératures » à contrainte qu’Éléonore m’avait offert il y a quelques années. Je le feuillette, le parcours, grappille, ça ne m’intéresse pas, la théorie ne m’intéresse pas (cette théorie-là en particulier et la manière dont elle est exposée). Il y en a trop pour un ouvrage (et un sujet) qui aurait dû se concentrer davantage sur les exemples ; c’est ce qui intéressera le lecteur, moi en particulier qui en suis un adepte. Il y en a, mais ils me semblent faibles, peu probants, et surtout pas intéressants. (C’est très froid, ça ne donne pas la moindre envie à un lecteur novice de s’y essayer, alors que cette pratique est jouissive.)
17 février 2017