Achille a travaillé toute la journée dans le bureau d’Éléonore ; elle a émigré dans le salon d’hiver. Keith est dans son studio, je l’ai à peine vu. Je poursuis Les Bienvaillantes avec une sorte de fièvre (je m’aperçois, comme avec In cold blood, que ce que j’ai entendu dire de ce livre à sa sortie m’influence, et donc me perturbe ; j’aurais préféré le découvrir vierge). Fin des Allemandes (après Toccata et avant Courante, Sarabande, Menuet jusqu’à Gigue ; Littel est-il musicien ?), il est muté. Toute la partie qui concerne les langues de cette partie du monde (Caucase), puis la question de la judaïté d’une des communautés de la région est passionnante et édifiante. Début de la Courante (y a-t-il un rapport avec ses diarrhées chroniques), il part pour Stalingrad…
30 novembre 2016