p. 115
« Sans ses somnifères, elle ne serait aujourd'hui qu'une parmi
les cinq cents belles poitrines d'Hollywood, guère
plus... »
À l'inverse de Dean, elle existait avant de mourir. Lui a commencé d'exister grâce à sa mort.
Elle irradiait tandis que lui
n'était qu'un falot...
De plus, p. 116 :
« Dean et Monroe sont beaucoup trop jeunes pour
qu'on les appelle des mythes. »
Le mythe n'est pas une affaire de jeunesse, d'âge, de temps, et, à l'inverse de Marylin,
James Dean est devenu un mythe.
Grâce à sa mort...
Le personnage de Krantz n'est pas très crédible (l'auteur est un peu jeune,
ou pas assez mâture, pour maîtriser cela :
inachevé)
28 mars
2001