Notes :

 

(Je ne pense pas que le mot qui figure sur la

page de garde soit de la main de l’auteur)

 

13 les estropiés (est-ce arrivé en France ?)

« Aujourd’hui encore, dix ans après la fin de la guerre, les rues étaient pleines d’individus estropiés, dont beaucoup portaient toujours leur uniforme, qui faisaient la manche devant les gares et les banques. »

 

110 HANNO

« Le centre d’exposition des morts du Hanno, appelé également “ morgue de la police ”, portait bien son nom [?]. C’était un spectacle populaire […] où on pouvait voir les cadavres de ses compatriotes assassinés […]. » Kerr précise dans ses notes finales que le centre existait bien, mais sans mentionner de nouveau le nom de « Hanno ». Qu’est-ce ? Je n’en trouve pas trace sur le réseau

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