Je n’ai pu décoller de ce texte qui a la puissance d’un récit fantastique, d’une enquête policière et d’une réflexion historique. J’en suis sorti étourdi. Éléonore m’a conseillé de lire à sa suite Avril brisé où l’on retrouve Doruntine et l’ancestrale bessa, c'est-à-dire la parole donnée... « L’Albanie est un drôle de pays », me dit-elle, elle qui encense Kadaré...