Sur mon bureau, il y avait une enveloppe contenant deux livres de Kadaré. Le premier, je l’avais commandé à Suezen, le second, Le général de l’armée morte, m'a été offert par Éléonore, avec, en sus, quelques beaux timbres. Elle déplorait de ne rien avoir eu durant plus de dix jours ; c’est pour cette raison que je lui avais commandé Concert baroque. Mais comme je voulais l’ajouter à mes vendeurs favoris et que deux achats me semblaient insuffisants pour justifier ce choix, j’ai passé commande de Kadaré. J’ai consulté sa boutique, car, autant commander quelque chose qui puisse m’intéresser plutôt que de faire un achat de complaisance. Je n’avais jamais lu Kadaré, qu'elle encense…
2 avril 2005