Rien à dire d’autre sur cette journée : bureau, le service à moi seul avec les quatre petits jeunes qu’eà vrai dire je vois très peu. Il y a du travail, mais je me suis tout de même débrouillé pour m’offrir deux heures dont j’ai consacré une partie à la relecture du recueil d'Évrard et au « démarrage » du Général de l’armée morte (partagée entre ma salle et celle de Prosper en congés, très calme en ce moment puisque pour l’heure elle est délaissée par l’équipe de renfort)...

 

12 juillet 2005